Carrières — Témoignages de Diplômés

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Diana Janky – Promotion 2021-2023

Après une licence en sciences sociales, je voulais entrer dans la police nationale en tant qu'officier. Le Master IRC me permettait d'avoir une vision globale sur les risques et les crises, comprendre comment ils surviennent, étudier des méthodes pour les prévenir, travailler sur des RETEX et aborder les questions de sécurité très présentes dans ce métier.

L'alternance m'a fait comprendre la complémentarité entre la théorie et la pratique. Il est parfois difficile de faire entendre les enjeux de sûreté en entreprise. Le bagage théorique pluridisciplinaire en sciences sociales du Master m'a permis de développer un esprit critique et ouvert sur différents champs pour trouver des solutions adaptées.

Également, grâce à la grande liberté dans le choix du sujet de mémoire, j'ai pu travailler sur une thématique qui me tenait à cœur en développant mon autonomie et mon ouverture. Les nombreux exercices oraux m'ont fait gagner en confiance en moi pour prendre la parole en publique dans des situations très variées.

Le plus du Master IRC, ce sont les mises en situation en M2. Un excellent exercice pour se confronter aux autres mais aussi à soi-même en situation de crise. L'adaptabilité est peut-être ce que j'ai le plus appris dans ce Master.

Aujourd'hui, je me sens armée pour poursuivre mon objectif au sein d'une prépa pour les concours d'officier de police.

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Nicolas Dubernat – Promotion 2017 – 2018

Pour moi, intégrer ce master, c'était avoir envie de prendre de la hauteur, d'avoir une vision plus large sur les risques et les crises.

Le MIR m'a offert cette perspective grâce à l'interdisciplinarité des cours dispensés. De plus, les sciences humaines et sociales enseignées en classe alternent avec les études de cas et le terrain menés en entreprise.

J'ai personnellement apprécié les cours portant sur le retour d'expérience (REX) de l'ouragan Irma ainsi que ceux portant sur la gestion des risques naturels.

Enfin, l'exercice de crise en M2 m'a permis de me questionner sur moi-même, et de comprendre ma place dans une cellule de gestion de crise.

Pour conclure, l'occasion de faire un mémoire approfondi, sur un sujet qui me plaisait, a été source de fierté et un vrai plus.

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Mathias Roger – Promotion 2015-2016

Issu d'une formation universitaire en sociologie, le master Ingénierie des risques m'a offert l'occasion de conjuguer mes savoirs avec le monde de l'industrie. L'organisation du master en alternance m'a permis d'intégrer un institut de recherche pendant deux ans en tant que chargé d'étude. Je poursuis actuellement ce travail au sein du même institut dans le cadre d'un contrat de thèse.

En étudiant la gestion des risques à tous les niveaux, le MIR offre un terrain d'étude à fort enjeu et surtout très riche pour l'étude sociologique. L'apprentissage concomitant de l'ingénierie des risques et des sciences sociales permet de répondre à la double problématique du manque de réflexivité des techniques de gestion des risques d'une part, et de l'aspect déconnecté des réalités de l'entreprise des sciences sociales d'autre part. Finalement, ce master m'a donné une réponse pratique à la question cruciale que je me posais, à savoir : que faire de ma sociologie ?

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Léopold Tcheche – Promotion 2014-2015

Je suis enseignant de Sécurité-Prévention dans un lycée professionnel rattaché au Ministère de l'Education Nationale. Après une Licence Pro. Sécurité des Personnes et des Biens à l'Université Paris Descartes en 2009, qui m'a permis d'être recruté au MINEDUC, je suis revenu à l'Université en 2014 pour préparer le Master Ingénierie des risques.
Cette nouvelle formation était pour moi essentielle et très indispensable pour préparer mes différents concours et développer ma carrière. Sur un plan personnel, le MIR a été pour moi une formation très enrichissante. J'ai acquis des connaissances nouvelles et de qualités, tout ceci grâce à une équipe pédagogique toujours disponible et à l'écoute, que je ne cesserai de remercier.
Aujourd'hui, je suis plus serein dans l'exercice de mes missions dans la mesure où j'ai les compétences requises tant dans le domaine de la sécurité-prévention que dans le domaine de la gestion des risques. Je me suis vu confier de nouvelles responsabilités dans la mesure où les aspects risques et sécurité sont indissociables et font partis des premières préoccupations de toutes les nations de nos jours.

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